Lil Wayne est (enfin) en prison
10 mars 2010
Il a embarqué avec lui un lecteur DVD et ses films préférés.
Quel genre d’hallu va-t-il se taper pendant son sevrage de syrup ?
10 mars 2010
Il a embarqué avec lui un lecteur DVD et ses films préférés.
Quel genre d’hallu va-t-il se taper pendant son sevrage de syrup ?
14 février 2010
C’est pas parce qu’on est méchants tous les jours qu’on ne peut pas, comme R.Kelly, “aimer l’amour”. Et c’est pas parce que c’est la Saint-Valentin qu’on ne peut pas être hip-hop. Alors, comme Hallmark n’a toujours pas prévu de cartes de voeux pour les lascars au coeur de canard que vous êtes, on a décidé de vous rendre service.
Voici quelques cartes que vous pourrez envoyer à  la meuf que vous convoitez, selon les circonstances, sans pour autant vous démunir de votre street-crédibilité :
- Si vous voulez prouver à votre partenaire qu’en dépit du temps qui passe et des erreurs de parcours, vos sentiments pour elle sont restés intacts, comme au premier jour :
- Si vous jetez votre dévolu sur une jeune femme croisée quelques minutes auparavant, et que nous n’avez pas le temps de vous encombrer de schémas de séduction aussi chronophages qu’archaïques:
4 février 2010
Lil’Wayne s’est fait tatouer un smiley a l’intérieur de la lèvre.
Sérieusement, vous croyez qu’on peut inventer quel genre de blagues quand les mecs sont 10 fois plus tarés que nous?
Non mais sérieux ? C’est relou.
1 février 2010
Les Inrocks ont eu une putain de bonne idée dans leur Revue du Web n°65, si vous êtes chauds, on aurait besoin de vous pour :
- pourrir la vie des gens
- montrer que les français sont aussi forts en LULZ
- réhabiliter ce grand classique qu’est Bad de Boys de Marseille (Part 2)
L’idée du truc : vous pourrissez un effet en “terminant une histoire captivante en copiant-collant les paroles de Bad Boys de Marseille” :
“Canaille, canaille, ah le mauvais garçon. La vie est courte, les délices du bonheur substantiels, la mort frappe l’oiseau assassiné en plein ciel. Le sort collabore à emporter des fois des corps, le Bad Boy sort quand le coroner s’endort encore. Mourir à 30 ans, passer du bon temps, l’angoisse casse l’enfant, fait du frère un type arrogant, assuré de voir un autre jour sous les coups. Je peux quand même apprécier un coucher de soleil comme vous ; rester lucide si les soucis troublent ma raison, quand des tours de béton s’érigent à l’horizon… Mais vraiment c’est drôle ; ma philosophie est tel un saule : s’élève vers les cieux, pour replonger plus tard vers le sol… Vision de cauchemar, noir désert du savoir, voir l’ange déchu, main mise sur le purgatoire… Croire en soi : rien de nouveau sous le soleil, tu reconnais bien là le style des Bad Boys. Tempérament fatigué, on est nés sous le soleil : tu reconnais bien là le style des Bad Boys. Chaque jour que Dieu fait, à 3h j’ai encore sommeil : tu reconnais bien là le style des Bad Boys. Au lever, poste à fond, du bon son dans les oreilles : tu reconnais bien là le style des Bad Boys. Et le soir tard, les renards se ruent sur l’oseille : tu reconnais bien là le style des Bad Boys de Marseille. On ne vit qu’une fois (fois) faut prendre du bon temps. Oui, autant (autant) profiter des instants les plus plaisants. Le monde est ainsi truffé de subtilités, trésors cachés de gatsés ; suffit de les débusquer, en abuser avec excès. Tu peux me faire confiance, j’entre dans la danse, un sale gosse de plus siège à la table des hautes instances. Un accro du micro qui fera mal à ta tête ; prends un Aspro® et laisse faire les pros made in Marseille. Maintenant tu sais que dans ma ville des MC’s déchirent. Multiplier notre empire, graver notre musique dans tes souvenirs, faire le mac car dorénavant la famille sort du côté obscur, sûre de t’avoir à l’usure, gazier. Dans ma ville, y’a rien, pourtant elle est grande. Dès 90, je contrebande, façon Luciano dans la Légende. L’indompté entre, arme blanche branchée. Laisse des traces aux intrus. Yo Le Rat, fracasse les estrasses sur instru. Dans la rue les combattants serrent les rangs, fiers même sans un franc. Oublie la frime, comprends : j’envoie mes rimes comme des 5 francs. Grands ou petits, noyés dans la masse, les rapaces manquent d’espace et se tirent dans les pattes… Fais place aux bagarreurs du mic. Ici, c’est Mars, surface rouge. La population panique, histoires tragiques, atmosphère tendue, volcanique. Linges pendus, murs salis, Boss, trafic tapent au cÅ“ur de la zique automatique de ma clique.”
26 janvier 2010
Pour fêté notre annif on vou fé des kdos, on vous ofre des fon d’ékran <3
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25 janvier 2010