Les Inrocks ont eu une putain de bonne idée dans leur Revue du Web nð65, si vous êtes chauds, on aurait besoin de vous pour :
- pourrir la vie des gens
- montrer que les français sont aussi forts en LULZ
- réhabiliter ce grand classique quâÂÂest Bad de Boys de Marseille (Part 2)
LâÂÂidée du truc : vous pourrissez un effet en âterminant une histoire captivante en copiant-collant les paroles de Bad Boys de Marseilleâ :
âCanaille, canaille, ah le mauvais garçon. La vie est courte, les délices du bonheur substantiels, la mort frappe lâÂÂoiseau assassiné en plein ciel. Le sort collabore àemporter des fois des corps, le Bad Boy sort quand le coroner sâÂÂendort encore. Mourir à30 ans, passer du bon temps, lâÂÂangoisse casse lâÂÂenfant, fait du frère un type arrogant, assuré de voir un autre jour sous les coups. Je peux quand même apprécier un coucher de soleil comme vous ; rester lucide si les soucis troublent ma raison, quand des tours de béton sâÂÂérigent àlâÂÂhorizon⦠Mais vraiment câÂÂest drôle ; ma philosophie est tel un saule : sâÂÂélève vers les cieux, pour replonger plus tard vers le sol⦠Vision de cauchemar, noir désert du savoir, voir lâÂÂange déchu, main mise sur le purgatoire⦠Croire en soi : rien de nouveau sous le soleil, tu reconnais bien làle style des Bad Boys. Tempérament fatigué, on est nés sous le soleil : tu reconnais bien làle style des Bad Boys. Chaque jour que Dieu fait, à3h jâÂÂai encore sommeil : tu reconnais bien làle style des Bad Boys. Au lever, poste àfond, du bon son dans les oreilles : tu reconnais bien làle style des Bad Boys. Et le soir tard, les renards se ruent sur lâÂÂoseille : tu reconnais bien làle style des Bad Boys de Marseille. On ne vit quâÂÂune fois (fois) faut prendre du bon temps. Oui, autant (autant) profiter des instants les plus plaisants. Le monde est ainsi truffé de subtilités, trésors cachés de gatsés ; suffit de les débusquer, en abuser avec excès. Tu peux me faire confiance, jâÂÂentre dans la danse, un sale gosse de plus siège àla table des hautes instances. Un accro du micro qui fera mal àta tête ; prends un Asproî et laisse faire les pros made in Marseille. Maintenant tu sais que dans ma ville des MCâÂÂs déchirent. Multiplier notre empire, graver notre musique dans tes souvenirs, faire le mac car dorénavant la famille sort du côté obscur, sûre de tâÂÂavoir àlâÂÂusure, gazier. Dans ma ville, yâÂÂa rien, pourtant elle est grande. Dès 90, je contrebande, façon Luciano dans la Légende. LâÂÂindompté entre, arme blanche branchée. Laisse des traces aux intrus. Yo Le Rat, fracasse les estrasses sur instru. Dans la rue les combattants serrent les rangs, fiers même sans un franc. Oublie la frime, comprends : jâÂÂenvoie mes rimes comme des 5 francs. Grands ou petits, noyés dans la masse, les rapaces manquent dâÂÂespace et se tirent dans les pattes⦠Fais place aux bagarreurs du mic. Ici, câÂÂest Mars, surface rouge. La population panique, histoires tragiques, atmosphère tendue, volcanique. Linges pendus, murs salis, Boss, trafic tapent au cà Âur de la zique automatique de ma clique.â
Punaise⦠ça me rappelle ma sixième. Un titre mythique bien quâÂÂaujourdâÂÂhuiâ¦
2 février 2010, 21 h 55 min
Ouais bon on va éviter Menzo quand même, que ses lyrics restent àleur place; câÂÂest-à-dire nullepart.
5 février 2010, 14 h 57 min
HAHAHA maintenant je fais pareil ac des vieilles lyrics de variet francaise!
5 février 2010, 20 h 23 min